« Still life » en anglais, ça vous a une autre gueule…
D’ailleurs ça convient parfaitement aux tomates de Philippe, si vivantes, en train de mûrir au soleil automnal. Elles nous offrent leurs formes rebondies telles de délicieuses grosses femmes de Bottero.
Depuis deux ans elles hibernaient, stockées dans la mémoire de ma tablette, attendant de trouver nouvelle vie en peinture. Les voilà en pleine lumière !