
Ne pouvait pas donner des signes de délabrement au milieu du beau jardin de Philippe récemment taillé en taupière…
Souvenez vous il y eut quelques signes avant coureurs à ma frénésie restauratrice, suivant l’adage «En mai re-fais ce qu’il te plaît ! »
Et hop les fauteuils en rotin chinés à la brocante, re-tressés ! il était grand temps… L’été précédent je leur avais fait des coussins « bayadère »dans une jolie bâchette aux harmonies de bleu et vert du meilleur effet !
Aussi, comme le portail avait reçu un bon coup de peinture (l’année des coussins), je me suis littéralement jetée sur les huisseries qui juraient affreusement avec tout le reste puis dans la foulée j’ai rangé l’atelier.
Qui a dit que la soixantaine était un naufrage ? Je n’ai juste plus le temps de peindre pour ma prochaine expo…
Mais au moins vous allez retrouver un atelier de « haute valeur environnementale »
Ouf j’ai bien failli perdre une étoile !